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Belfast

Belfast est située sur la côte nord-est de l’île d’Irlande. La ville est entourée d’une série de collines, dont Cave Hill. Elle se trouve à l’extrémité occidentale du Belfast Lough et à l’embouchure de la Lagan,elle fait partie de la province historique irlandaise d’Ulster.

Belfast, ville rebelle ou ville du Titanic


Découvrir l’Irlande du Nord dans son aspect historique et culturel ?, nous vous conseillons de passer par la ville de Belfast, capitale officielle d’Irlande du Nord. Cette ville hors-norme porte en elle les traces d’une histoire douloureuse placée sous le signe de la domination britannique, de la politique et de la religion. Son patrimoine culturel anglo-irlandais est à découvrir absolument.La ville est située dans la province d’Ulster

Source: https://www.guide-irlande.com/localisation/belfast/


Le tiers de la population de l’Irlande du nord est  concentré dans un rayon de 15 Km autour de la ville. La ville vous séduira par son dynamisme et son envie de se tourner vers l’avenir

Étrange Belfast.  Passionnante Belfast

Comme de nombreuses villes d’Irlande du Nord, Belfast possède de célèbres fresques murales, peintes sur de nombreuses maisons dans des quartiers catholiques et protestants.

L’image qu’offre la capitale de l’Irlande du Nord en décontenancera plus d’un. Elle a la rage de vivre suite a un long passé historique très lourd.

La ligne de paix qui sépare ghettos catholique et protestant, est toujour aussi sinistre. Mais la nuit venue, sur le golden Mile, Belfast pétille comme un champagne .

La ville passe du moderne au année vingt, entre briquettes et tours de verre.

Un mélange hétéroclite qui ne manque pas de charme.


Histoire de Belfast

Le début d’un conflit opposant les irlandais aux anglais

Au cours de 18ème siècle, Belfast et le reste de l’Irlande assistent ensembles à l’émergence d’un conflit de grande envergure, opposant les irlandais aux britanniques, où les catholiques irlandais subissent les discriminations incessantes des protestants britanniques. Les droits civiques des catholiques sont dès lors bafoués, créant de vives tensions au sein du pays et de Belfast. Ces tensions dureront jusqu’à la Guerre d’Indépendance (1919-1921), et la ratification du Traité de Londres le 21 décembre 1921.

Ce Traité, met ainsi fin à des siècles de conflit politique et religieux, et officialise ainsi la création d’un nouvel état irlandais indépendant désigné sous le nom d’État Libre d’Irlande. En contrepartie, le gouvernement Londonien demande cependant à conserver le contrôle de l’Irlande du Nord et de ses 6 comtés. Belfast en fait bien sûr partie et devient le théâtre d’affrontements d’une grande violence, opposant ainsi catholiques et protestants au travers d’attentats meurtriers commandités par l’IRA (côté catholique) et les milices protestantes (UVF). Le conflit (surnommé “Troubles”) dure alors plus de 30 ans, provoquant plus de 3 000 morts, ainsi que des emprisonnements sans jugement de membres de l’IRA.

Source: https://www.guide-irlande.com/localisation/belfast/


Ce qu’il faut voir absolument …

 

 

Titanic Belfast Experience

Le Titanic Belfast Experience est un musée situé à Belfast, entièrement dédié au Titanic, de sa conception à son naufrage. Ce dernier a ouvert ses portes le 31 mars 2012, et compte ainsi proposer à plus de 450 000 visiteurs par an, une expérience inoubliable qui vous plongera au cœur même du paquebot irlandais.

Un chantier titanesque .

L’établissement gigantesque revisite l’histoire complète du paquebot, de sa construction en Irlande du Nord sur le chantier naval de la compagnie “Harland and Wolff”, jusqu’à son lancement, en passant par son terrible naufrage en avril 1912, après la collision d’un iceberg, provoquant la mort de plus de 1 500 personnes.

Un intérieure digne des plus grand palace.

Une restauration de maitre

A quelque pas du musée on trouve le SS NOMADIC.Tout commence en 1907, lorsque les directeurs de la White Star Line décident de lancer la construction d’une flotte de 3 navires géants, destinés à former la classe Olympic : l’Olympic, le Titanic et le Gigantic. Toutefois, la taille imposante de ces navires exige de bâtir en parallèle un transbordeur, chargé de transférer les passagers du quai vers ces nouveaux paquebots.
Ainsi, Thomas Andrews et Alexander Carlisle, les architectes des 3 navires, proposent dès 1910 de créer 2 transbordeurs : le SS Nomadic (chargé des 1ère et 2nde classes), et le Traffic (chargé des 3èmes classes).

Une vue imprenable sur les chantiers

A voir aussi la veille ville

Organisez-vous à l’avance un petit tour guidé à pied du centre de la ville ! Le centre et ses petites ruelles regorgent de secrets et de trésors historiques.

 

 

 

Remontez les bords de la rivière Lagan depuis le centre-ville. Non seulement la balade est sympa, mais en plus vous aurez une jolie vue sur la ville et la rivière. Le long de la Lagan, vous trouverez par exemple le gros poisson bleu de Belfast fait entièrement de mosaïques qui retracent l’histoire de la ville

 

 

 

 

Un incontournable

     Une Histoire …

Surtout si vous voulez découvrie l’ambiance locale, authenticité Irlandaise. Direction « le Crown Bar Saloon »

C’est sans nul doute le pub le plus célèbre de Belfast et incontestablement le plus visité. L’histoire de son nom n’est pas anodine. A l’ouverture de l’établissement, madame choisit le nom Crown (Couronne). Monsieur, qui n’eut pas vraiment le choix, décida de placer une mosaïque représentant cette  » couronne « , sur le sol à l’entrée. De cette manière, chaque consommateur passant le pas de la porte pourrait fouler du pied la couronne d’Angleterre… source Petit futé

L’endroit est à voir au moins pour sa façade baroque et son intérieur, avec des sculptures de bois du sol au plafond, des mosaïques et des vitraux, de magnifiques céramiques et des piliers corinthiens…

Des box de bois qui ressemblent à des chaires d’églises offrent des petits coins plus intimes et les lieux sont souvent bondés, aussi prisés par les locaux que par les touristes.

Laissez-vous tenter par une pinte façon locale…

Mais si vous voulez plus atypique pour déguster votre Guiness, façon « moving »…


Et voilà il est temps de rentrée en france, clic …

Ou bien retourne à la page de sélection

Côte Nord-Ouest – Connemara

Coucou, en route pour le quatrième parcours le long de la côte Nord-Ouest, plus sauvage que le sud, nous irons à la découverte de magnifiques plages de sable et surtout le parc national du Connemara avec ses lacs et cascades.


Les petites routes sinueuses nous emmène le long de la côte. Le soleil est au rendez-vous et nous empruntons un petit chemin 4×4 pour descendre vers le rivage.

 

Loin de toutes habitations nous nous enfonçons au travers des champs de tourbes en faisant bien attention de rester sur le chemin car un écart et c’est l’enlisement a coup sûr.

Les tourbières couvrent près de 16% de l’Irlande (20 000 km²). Une Tourbière est en général particulièrement humide : voilà pourquoi l’Irlande est l’un des pays possédant autant de tourbières; les précipitations y sont régulières et abondantes, et permettent ainsi d’entretenir une humidité importante dans des milieux naturels.

Une tourbière varie de 45 cm à 13 mètres de profondeur, et se constitue essentiellement d’eau à 95% et de 5% de déchets végétaux et organiques tels que : racines, composte, fleurs, graines, etc…

Voilà un petit coin pique nique digne de ce nom, le rêve … personne, du soleil, la mer, et les moutons .

 

Il est temps de reprendre la route direction les plages de sable.

 

 

Attention tout de même à ne pas approcher trop prés des falaises, le vent pourrait vous pousser a l’eau et Wapi n’a pas envie de jouer « Alerte à Malibu » … l’eau est trop froide…

 

Direction les grandes étendues de sable fin Irlandais. Un avantage, même au mois aout, les plages sont désertes. Seul quelques courageux du surf se risquent dans une eau très froide.

Il est temps maintenant de trouver un bivouac dans les dunes et surtout a l’abri du vent …

 

Demain nous prenons la route en direction du Connemara, la régions des lacs et cascades .

 

 


Surnommée la « beauté sauvage » par Oscar Wilde, la belle région du Connemara est depuis de nombreuses années une destination emblématique, chère aux visiteurs français.

Vous pouvez découvrir cette région le long de la côte sauvage du Wild Atlantic Way. C’est un lieu magique, d’une beauté naturelle stupéfiante, pleine de romantisme et de traditions.

C’est dans le Connemara que vous pourrez découvrir le riche patrimoine culturel de l’Irlande, et notamment la langue irlandaise (le gaélique irlandais).

Le Connemara est une région dotée de paysages sauvages somptueux et inhospitaliers. D’immenses montagnes sombres s’y imposent de tout leur silence, dominant de grandes étendues de landes rousses. Les innombrables lacs et torrents serpentent entre les plaines vertes et il n’est pas rare d’y croiser un irlandais récoltant la tourbe dans l’une des nombreuses tourbières de la région.

Forte de la richesse de cette région, la population y exploite la tourbe, et fait également l’élevage de moutons.

 

Le Connemara est indiqué en rouge, la partie rose indiquant son extension la plus grande. La partie verte correspond au Joyce Country .

 

 

Découvre aussi ces petits villages et  abbayes .

Bon, voila notre parcours fini, j’espère que cela vous a plu et donner envie de visiter cette magnifique région. En route maintenant pour la suite de notre parcours, Clic sur mon museau …

 

Côte Sud-Ouest vers Galway

Pour se parcours , nous sommes toujours en République d’Irlande. Partons en expédition sur la plus longue route côtière balisée au monde.

Le Wild Atlantic Way est un trajet sensationnel mêlant falaises vertigineuses, villes animées, plages secrètes et baies spectaculaires. Que vous le parcouriez de bout en bout ou que vous le découvriez au fil de vos envies, c’est une expérience unique .

Avec le trèfle, la harpe, la bière, le Whisky, le rugby…. le mouton est un autre symbole fort de l’Irlande. Ils sont présents dans chaque recoin de cette terre bénie des Dieu. Se sont, en générale, des « Scottish Blackface ». c’est dans se décors que nous arrivons à STAIGNE-STONE .

Adresse : Staigue, Co. Kerry, Irlande

 

Dans le Kerry , nous allons découvrir les vestiges du fort de STAIGNE, niché au cœur de la montagne, c’est l’un des sites archéologiques le plus important de l’irlande.

Il est impressionnant de part sa hauteur et l’épaisseur de ses murs.

Une légende raconte qu’il n’aurait fallu qu’une nuit et un jour pour construire cette ensemble de fortifications, large de 4mètres, courent sur 85 mètres de circonférence.

La datation de ce fort date d’environs d’après les archéologues du premier millénaire avant JC

 

Avant La visite nous vous conseillons de prendre un petit café dans la roulotte qui sert aussi d’accueil pour l’accès au site.

Il aurait été bâti pour un roi local et servait alors de place forte pour surveiller les environs et se prévenir d’éventuels assaillants. Sa structure défensive confirme d’ailleurs cette hypothèse…

Au fil des siècles, le fort a finalement été abandonné puis laissé à l’état de ruines… L’État irlandais l’a depuis classé au rang de patrimoine historique, et sa visite est possible…

De nombreux forts identiques jalonnent la côte.

 

 


Il,est temps de trouver une petite place pour grignoter , cette plage semble idéale et de plus nous avons du spectacle. Les amateurs de sensations fortes qui domptent les vagues tout comme les âmes sensibles succombent à la côte du surf, où se côtoient le fracas des vagues et un silence poétique.

 Après avoir manger, un petit dessert s’impose . Il suffit juste de traverser la route pour entrer dans une fabrique locale de chocolat.

Humm! je me lèche les babines .



En route pour notre prochaine destination, une petite balade en bateau pour une excursion 1/2 journée sur une île magnifique.

 

 

La route étroite reste toujours aussi attirante grâce aux couleurs éclatantes des bas-cotés.

Si l’idée vous disait d’aller faire un tour sur une île de la côte alors nous vous conseillons Great Blasket Island à seulement quelques kilomètres du rivage . Il faut d’abord trouver l’embarcadère et ce n’est pas chose si facile, puis trouver une place pour laisser nos gros 4X4, qu’a cela ne tienne, nous utiliserons un petit chemin  en guise de parking.Les tickets en main, une longue descente à pied commence sous un soleil torride. Pas trop difficile dans ce sens  mais ce soir ça ne va pas être la même histoire.

Bon, il ne reste plus qu’à attendre le taxi-boat.

 

 

Dans magnifique contre jour, la côte rocheuse de l’île semble surgir des flots.Impossible de s’approcher du rivage avec le bateau, c’est donc en Zodiac que nous regagnerons la berge.

 

nous vous conseillons de vous balader du côté de ses maisons en ruines abandonnées ! Vestiges à elles seules, d’une habitation ancienne de l’île, elles offrent un charme tout en contraste, entre leurs pierres sombres, la verdure de ses vallées, et le bleu profond de l’océan alentour !

Great Blasket Island a été habitée par des irlandais à partir de 1841, jusqu’au 17 novembre 1953, date à laquelle la population locale fut contrainte d’abandonner l’île, en raison de ses conditions de vie trop difficiles.

Pour les plus courageux il existe un sentier qui fait le tour complet de l’île mais il faut une bonne  journée devant soi. Pour notre part nous n’avons que 2H mais les paysages valent le coup de tenter une petite ascension .

Si vous avez comme nous de la chance, vous pourrez peut être apercevoir sur la plage ou dans l’eau une colonie de phoques, la fin de journée reste le meilleur moment.


Direction une curiosité à quelques encablures de Dunberg Fort.

Mais la première surpris se trouve sur le parking en contre bas. une vedette de ses lieux passe un shooting photos …

Fahan offre aussi une étonnante concentration de Clochàins (plus de 400). Accrochées aux flans du Mount Eagle (516m), ces huttes en pierres sèches ont la forme de ruches, d’où leur autre nom : Beehive huts.

Tour à tour cellules de moines et refuges de bergers probablement, elles ont un petit air de famille avec les Bories du Vaucluse.

Leur datation est aléatoire, la technique de l’encorbellement utilisée remontant à plus de 5000 ans.

Quoi qu’il en soit, pour les approcher, il vous faudra le plus souvent acquitter un péage de quelques euros, les propriétaires des lieux ayant compris qu’ils possédaient un véritable filon sur leur terrain !

 

 

 

 

 

Une fois au plus haut, le panorama est époustouflant.


Direction les falaises  de Moher, se sont des ensembles de falaises situées sur la commune de Liscannor au sud-ouest du Burren dans le comté de Clare. Elles s’élèvent jusqu’à 214 m au-dessus de l’océan Atlantique sur une longueur de 8 km. Wikipédia 

Pour l’instant le temps c’est nettement dégradé, et il nous faut traverser le bras de mer à Tarbert par le ferry local.

La route devient de plus en plus étroite, avec nos gros 4X4 nous espérons seulement ne pas croiser de véhicule en sens inverse, mais au bout nous allons déboucher sur le lieu incontournable du tourisme en Irlande, c’est le site naturel le plus visité du pays; les falaises de Moher fascinent par leur beauté et leurs pentes vertigineuses.

Les falaises de Moher (en anglais Cliffs of Moher, en irlandais Aillte an Mhothair, « falaises des ruines ») sont des ensembles de falaises calcaire et de schiste

Érodées par le vent et l’océan, souvent déchaînés près de ces côtes elle sont depuis 2008, un espace  protégé pour préserver une faune assez riche.

Visité par plus d’un million de touristes par an, ce n’est pas sans conséquences sur la nature sauvage. Des sentiers balisés ont dû être construits afin de protéger ce site exceptionnel.

La tour O’Brien (O’Brien tower) a été construite en 1835 au milieu des falaises par Sir Cornelius O’Brien, elle offre une magnifique vue par temps claire sur îles d’Aran et la baie de Galway .

 

 

 

 

 

Coté sensation forte, nous vous conseillons la balade sur les pierres plates qui ont la particularité de surplomber la mer. Une fois dessus il ne faut pas avoir le vertige, voir s’accroupir par grand vent. Âme sensible s’abstenir.

 

 


Doolin est un charmant petit village situé sur la côte ouest irlandaise. Très réputé pour la musiques irlandaises dans ces Pubs, Doolin jouit d’un cadre exceptionnel, et se situe à moins de 10km des Falaises de Moher

Si vous passez par le centre-ville de Doolin, il est obligatoire de faire un tour aux Pubs. chaque soir, des groupes de musiciens locaux se réunissent dans les Pubs de la ville, pour jouer toute la soirée sur des rythmes endiablés de la musique traditionnelle irlandaise. Vous aurez ainsi l’occasion de découvrir des instruments typiquement irlandais, et de découvrir des morceaux issus du trad irlandais. Un régal pour les amateurs de musique !

Sans hésitation , nous vous conseillons le O’CONNORS PUB, un haut lieu de la musique Irlandaise « pure souche ».

Ambiance assurée tous les soir de toute l’année et quelque soit le temps, une immersion totale , vous en sortirez peut être avec Trèfle à la bouche et une Guiness à la main en dansant une jigs ….


La cité aux sept croix. En Irlande elle détient la plus forte concentration de croix celtiques monumentales.

 

 

direction l’église du village ou plutôt la cathédrale malgré sa petite taille.

 

Celle-ci reconstruite au XII éme siècle, dédiée à saint Fachtann, est sans doute l’une des plus petites de la chrétienté:elle a la taille d’une chapelle…Mais l’évêque en reste .. le pape lui-même

Un toit de verre, protège désormais ses scultures, ainsi que la Doorty Cross.

Non loin de la nous pouvons visiter le « Dolmen de Poulnabrone »

Le Dolmen de Poulnabrone se tient là, perdu dans la montagne rocailleuse d’Aillwee.

L’un des plus célèbre dolmens d’Irlande !

 

Agé de plus de 5 800 ans, il aurait été bâti dans l’objectif de servir d’autel funéraire : on y a ainsi trouvé de nombreux ossements et vestiges humains, prouvant que plus de 22 corps y ont été brûlés sur une période de 600 ans (de 3200 à 3800 avant J.C).

Maitre YODA ??? mais non c’est Wapi avec sa cape en mouton …

 

 

 

En ce lieu il y a une curiosité géologique, depuis des milliers d’années l’eau de ruissellement a creusé de véritables sillons sur le plateau rocheux qui entoure le dolmen.Il s’agit en effet d’une région constituée essentiellement de paysages karstiques, à savoir des successions de couches épaisses de roches sédimentaires.

La végétation en a profité pour remplir les sillons . A l’abri du vent, du froid et grâce a une humidité constante on y trouve toute sorte de fougères et autres plantes typique de la région.

Bon, il y grand temps de reprendre la route en direction de Galway car nous risquons d’arrivée un peu tardivement vue l’état de routes ou plutôt des chemins…


Un dernier petit arrêt obligatoire si vous aimez les petits châteaux très typiques de l’Ecosse ou de l’Irlande au bord de l’eau.


Étape repos     < GALWAY>

Comté : Comté de Galway
Coordonnées : 53° 16′ 40″ nord, 9° 02′ 30″ ouest
Population : 79 504 (2017)

 Il était une fois le bivouac
 Pascal la vaisselle?, demain il pleut des hallebardes 😛 😛
Et maintenant  au lit, car demain on part pour le journée complète .

Dún Bhun na Gaillimhe (le Fort à l’embouchure de la Corrib) fut construit en 1124 par le roi du Connacht .

 

La ville s’étendit autour du fort à l’intérieur de murs défensifs. Pendant longtemps Galway eut maille à partir avec les populations gaéliques des environs. Sur une inscription sur la Porte Ouest construite en 1562 on peut lire « Des féroces O’Flaherty puisse Dieu nous protéger ». Les Irlandais des environs ne pouvaient pas circuler librement dans les rues de la ville (contrairement aux anglo-irlandais qui en étaient les citoyens). (Wikipédia)

Le bivouac étant situé bien en dehors de la ville, le meilleur moyen de se rendre en ville est de prendre le bus .

 

 

Des lignes régulières vous ammène directement au centre ville et particulièrement à la cathédrale  Notre-Dame de Galway, début de notre visite.

 

Elle a été édifiée entre 1958 et 1965 à l’emplacement de l’ancienne prison du comté, célèbre pour sa rigueur envers les prisonniers. L’apparence extérieure n’est pas du gout de tout le monde, mais l’intérieur, avec ses arches hautes et courbes et son dôme central, possède une élégance simple et solide. On y trouve de superbes fresques d’inspiration hiberno-saxonne et un plafond en bois finement ouvragé. Son énorme volume intérieur témoigne de l’importante fréquentation des messes, encore de nos jours.(Wikipédia)

Galway, la capitale du Connacht, est la quatrième plus grande ville en République irlandaise après Dublin, Cork et Limerick. La ville a connu une croissance très rapide ces dernières années.

Galway a une économie locale forte avec des secteurs importants comme l’industrie manufacturière, le tourisme. Il fait bon déambuler dans les ruelles très animées du centre historique

Pendant le Moyen Âge, la ville fut gouvernée par une oligarchie de quatorze familles de commerçants (douze d’origine anglo-normande et deux d’origine irlandaise), les Tribus de Galway. La ville prospéra grâce au commerce international et devint petit à petit le principal port de commerce avec l’Espagne et la France.  L’endroit est maintenant trés prisé par la jeunesse .

Le centre-ville, essentiellement piéton, compte de très nombreux restaurants et pubs irlandais qui dès la fin d’après-midi, sont pris d’assaut par les locaux et les touristes venus boire un verre et écouter de la musique traditionnelle (ou non), le tout dans une ambiance chaleureuse ! Galway est la ville idéale en Irlande pour faire la tournée des pubs sans se ruiner.


Nous voila de retour au campement pour un apéro bien mérité après une journée complète de marche, demain « grasse-mat » avant de repartir pour notre prochain parcours.

En route pour :

Côte Nord-Ouest – Connemara

 

De Rosslare à Cork (côte-sud)

L’arrivée à ROSSLARE

Première  journée après notre départ de Cherbourg. Rosslare Europort est un port situé à Rosslare Harbour, près de Rosslare Strand, dans le Comté de Wexford à la pointe sud-est de l’Irlande.

Le port a un fort trafic de passagers vers des ports britanniques (Fishguard et Pembrocke) et français (Cherbourg et Roscoff). Notre arrivée se fait sous la pluie, et oui il va falloir se faire une raison, l’Irlande à une pluviométrie importante quelle que soit la saison. Mais nous allons nous apercevoir que ce temps change plusieurs fois par jour et et nous passerons de la pluie au soleil en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ça c’est l’Irlande authentique …

D’abord une petite restauration à WEXFORD

C’est vers 950 que les vikings s’installèrent dans l’estuaire de la Slaney. Ils donnèrent au site le nom Waesfjord (fjord boueux) Au XII ème les Anglo Normand prirent le relais . On entendit alors parler de Wexford.

La ville Médiévale

Partez de Custom House Quay , emprunter à gauche Common Quay. Loch Garman (nom gaélique de Wexford) a conservé ses ruelles tortueuses et une partie de ces anciens remparts.