Portugal Off Road (étape 7 suite) Estoril-Sintra

Le circuit d’Estoril est un circuit automobile de 4,182 km situé  près de Lisbonne. Il a accueilli le Grand Prix automobile du Portugal de 1984 à 1996. Construit en 1972 sur un plateau rocheux non loin d’Estoril, au Portugal, sa longueur initiale était de 4,350 km .

Après sa grande gloire des GP de F1, le circuit est beaucoup moins actif, il accueil encore quelques compétitions autos/motos de renom et sert aussi de terrain d’essai pour quelques grandes marques.Avec un tracé développant 4.182 km, le circuit d’Estoril offre aux pilotes une configuration très singulière avec 13 virages (4 à gauche et 9 à droite) et une ligne droite de 985 mètres ainsi que des variations d’élévation importantes..

Un peu des grandes lignes de l’histoire

  • En 1984, le circuit d’Estoril a été le théâtre à l’occasion du Grand Prix du Portugal revenu au calendrier de la F1, de la victoire d’Alain Prost, lequel devançait son propre partenaire, l’Autrichien Niki Lauda
  • En 1985 t sur la piste d’Estoril qu’Ayrton Senna, a remporté, le dimanche 21 avril 1985, sa toute 1ére victoire en Grand Prix au volant de sa Lotus-Renault Turbo
  • En 1996 Toujours à Estoril, on se souvient aussi du dépassement d’anthologie du futur vainqueur, le Canadien Jacques Villeneuve sur Michael Schumacher, le dimanche 22 septembre .

 

Estoril obtient le grade 1 de la FIA et peut accueillir la F1…

Peut être une renaissance pour ce circuit

 

Le Portugal semble déterminé à accueillir une course de Formule 1, puisque après que le circuit de l’Algarve près de Portimao a annoncé la semaine dernière avoir reçu le grade 1 de la FIA, c’est désormais au circuit d’Estoril de lui emboîter le pas. Le Portugal a accueilli son dernier Grand Prix de Formule 1 en 1996 sur le circuit d’Estoril, qui a été rebaptisé depuis l’Autodrome Fernanda Pires da Silva.


Au cœur d’un parc de 200 hectares, situé sur l’une des cimes des monts de Sintra, le Palacio National de Pena nous offre ses couleurs vives, jaune et rouge, une architecture tout droit venue du style Romantisme du XIX siècle

Le palais est une suite de tarasses aux couleurs vives, de remparts décoratifs, de statues mythologiques.

Un peu d’histoire ———————–

(site wikipédia)  On le doit au prince Ferdinand de Saxe-Cobourg-Gotha — roi consort du royaume —, d’origine allemande et portugais d’adoption à la suite de son alliance avec la reine Marie II.

En 1839, après avoir racheté les ruines d’un monastère hiéronymite du XVe siècle, ce même souverain confie l’édification de son palais d’été au baron Ludwig von Eschwege.

Celui-ci mélange allègrement les styles architecturaux — mauresque, baroque, gothique, Renaissance et manuélin — afin de livrer un bâtiment exubérant et haut en couleur, mais qui conserve toutefois quelques parties de l’ancien monastère.

 

 

 

 

 

                                        La construction, commencée au milieu du XIXe siècle, ne s’achève qu’en 1885, année de la mort du roi.

Après la proclamation de la République, en 1910, l’édifice, devenu propriété de l’État, est conservé tel quel et ouvert au public.

Si vous  aimez la photographies , vous allez être servi …

Monter sur la terrasse et observer la vue magnifique à 360°

On pénètre dans le palais par une porte mauresque menant à une cour intérieure ; dans celle-ci, on peut trouver un arc de triton, décoré de détails néo-manuélins et de néoromantisme.

 

 

 

L’intérieur du palais se divise en différentes pièces, uniques en leur genre. La salle arabe, comme son nom l’indique, présente ainsi des fresques et autres ornements inspirés de l’Orient. La salle de bal mélange, quant à elle, des éléments de décoration orientaux à des vitraux prussiens.

Le parc de Pena est une vaste zone forestière qui s’étend sur 200 hectares et qui entoure le palais. Le parc est rempli de sentiers de promenade, de chemins secrets, de pavillons, de lacs, d’étangs et d’arbres exotiques .


Et voilà la journée est finie , il est temps de reprendre nos carrosses pour remontée sur Paris, mais faisons une dernière halte au Portugal rien que pour les yeux à Coimbra …

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