Archives de catégorie : FRANCE

Alsace – Ribeauvillé –

Nouvelle étape incontournable lorsque que l’on parcourt l’Alsace …

Située sur la Route des Vins, entre vignoble et montagne, Ribeauvillé est une charmante cité qui a su valoriser son patrimoine historique.
Au Moyen-âge, la cité était le siège de la Seigneurie de la famille des Ribeaupierre (d’où le nom de la ville de Ribeauvillé).

La Grand’rue et ses quartiers pittoresques, bordés d’habitations toutes fleuries datant du 15ème au 18ème siècle, la rue est jalonnés de places ornées de fontaines de style renaissance.

Commune de vignerons, Ribeauvillé a toujours été une importante ville marchande, de nombreux magasins attirent votre estomac  inévitablement.

Egalement classée aux Monuments Historiques, l’église Saint-Grégoire dévoile une très belle architecture alsacienne.

Je vous conseille de prendre un petit peu de hauteur par le sentier qui longue les remparts pour apprécier la vue du haut et aussi la vue sur les trois châteaux.

Et voilà notre visite est finie, clic sur mon Bretzel pour revenir aux voyages de Wapi


Alsace – Sélestat –

Intitulé « Dans les pas du lion et du géant Sletto », le parcours est un clin d’œil au lion, emblème de Sélestat et à Sletto, géant légendaire fondateur de la Ville. Le parcours de visite se veut ludique. Il est matérialisé au sol par une signalétique spécifique. Quelques 500 flèches scellées au sol jalonnent le parcours et guident les visiteurs à travers la ville. Ces derniers sont ainsi guidés de site en site. Chaque étape est balisée par une grande plaque en bronze numérotée ancrée dans le sol. Il faut compter 2 heures pour découvrir l’ensemble des 24 étapes du parcours. (info du site de Sélestat).

Commençons la visite par l’édifice abritant en son rez-de-chaussée l’Office de Tourisme. Il faisait partie au Moyen Âge d’un ensemble plus vaste appartenant aux chevaliers de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Sélestat possède également son quartier allemand façonné après l’annexion de l’Alsace à l’Allemagne en 1870. Quelques grandes réalisations sont visibles dans ce quartier de la ville comme le tribunal (1900)                             

Le château d’eau (1906) ou encore l’ancienne caserne Schweisguth (1876).Les sculptures de la façade du tribunal sont liées au thème de la Justice. Situé au sommet de l’arc en accolade, le hibou symbolise l’intelligence et la réflexion. De part et d’autre du hibou, deux lions ailés portent des écussons dotés d’une balance et d’une épée. Il s’agit là des attributs de la Justice. La balance évoque l’équilibre et la mesure. Quant à l’épée, elle représente la puissance. Les masques sculptés sur les linteaux des fenêtres du rez-de-chaussée sont une allusion à la Justice qui dévoile les vrais visages.

Otaries, poissons, cygnes, ours blancs, enfants jouant avec des poissons, naïades sur chevaux marins, tels sont les éléments du décor sculpté sur la façade devant vous. Tout laisse supposer que l’eau n’était pas étrangère à l’ancienne fonction de cet édifice comme le confirme l’inscription Bains Municipaux au-dessus des fenêtres de l’avant-corps central.

Les Bains Municipaux voient le jour en 1928 mettant ainsi à disposition du public plusieurs baignoires et douches.


Un très bel aperçu de l’église Saint-Georges
s’offre à vous depuis la station 18. On aperçoit distinctement toutes les parties de l’église depuis la toiture du chevet aux tuiles colorées et vernissées, jusqu’à la gracieuse tour à l’avant de l’église, en passant par la tour de croisée recouverte de cuivre. S’il se dégage une impression d’homogénéité lorsque l’on découvre le monument, pas moins de trois siècles furent néanmoins nécessaires à son édification sous l’impulsion de la bourgeoisie locale désireuse de s’affirmer face au pouvoir religieux représenté par le prieuré Sainte-Foy. Les travaux débutent vers 1220 pour se terminer peu avant 1500. Les vitraux du choeur, en partie du XVe siècle, sont sans conteste le trésor de cette église.

De la fin du XVe siècle jusqu’au début du XVIIe siècle, c’est sur l’actuelle place d’Armes, depuis le perron de l’ancien hôtel de ville, qu’étaient proclamées les sentences pour crime de sorcellerie.Cette place fut nommée Place d’Armes en 1807 lorsque s’y installe le corps de garde. Elle s’appellera ensuite Paradeplatz (1870 ) puis Herrenplatz (1880 ) pour retrouver en 1919 son nom actuel.

Vestige de la deuxième enceinte construite en 1280, la Tour Neuve n’a pas toujours eu la silhouette qu’on lui connait. À l’origine, elle était moins haute et uniquement pourvue d’une terrasse crénelée. C’est au XVIIe siècle qu’elle est profondément remaniée avec la construction d’un deuxième corps de maçonnerie au sommet de la tour. Des ouvertures appelées canonnières sont percées pour laisser passer le fût des canons et une toiture en forme de bulbe est construite.La fresque visible côté sud représente une scène de crucifixion.

Si vous quittez le parcours balisé pour voir de plus près l’édifice, vous découvrirez sous la tour deux fresques faisant allusion aux nombreuses corporations qui régissaient autrefois la ville : bouchers, cordonniers, tanneurs, laboureurs, vignerons…

Après le démantèlement des enceintes médiévales en 1673, il est décidé de fortifier de nouveau la ville. La dernière enceinte sera construite selon les plans de Vauban.

Devant vous, sur le mur du bastion, quelques 310 plaques de rue sont installées. Elles comportent un mot ou des bribes de phrases invitant à la promenade et à la rêverie. C’est une œuvre d’art contemporain réalisée par Sarkis en 1993 intitulée Le point de rencontre : le Rêve.


Vous entrez ici dans le quartier des Tanneurs.
Ceux-ci étaient très souvent regroupés à l’écart du centre-ville, car leur activité était très polluante et nauséabonde. Le canal qui coulait autrefois au milieu de la voie a été recouvert au début du XXe siècle. L’eau coule toujours sous vos pieds et se jette dans l’Ill

 

 

 

 

 

 

             Dénommée «Niedertor» (porte basse) à l’origine, la Tour des Sorcières est l’un des rares vestiges de la première enceinte du XIIIe siècle. Elle fut surélevée de trois étages à la fin de ce même siècle, prenant ainsi son aspect actuel. Au XVIIe siècle, les deux portes d’entrée furent murées pour y enfermer de malheureuses femmes accusées d’avoir pactisé avec le démon.

 

 

La pluie malheureusement nous fait écourter notre visite de Sélestat, voici encore quelques clichés pris au coin d’une rue.

Tous les articles sont tirés du site de Sélestat où vous pouvez également télécharger le parcours touristique.https://www.selestat.fr/fileadmin/user_upload/patrimoine/documents/pdf/Parcours_de_visite/Parcours_de_visite_2016.pdf


Direction Ribauvillé

Alsace – Neuf Brisach

 

Neuf Brisach une construction Vauban


Au-delà du Rhin, elle est la seule et magnifique illustration du troisième système de Vauban.

C’est Louis XIV lui-même qui, parmi les trois projets soumis par Vauban, choisit le plan octogonal qui est parvenu jusqu’à nous et qui lui coûta 4 millions de livres. Un canal est spécialement creusé jusqu’aux Vosges pour acheminer le grès rose nécessaire à la construction.

Neuf-Brisach, construit en plan octogonal, est tout à fait remarquable.

Vauban élabore ses trois systèmes de fortification par touches successives, en fonction des progrès qu’il apporte aux techniques d’attaques des places fortes.

Le principe ? Multiplier les ouvrages extérieurs afin de renforcer la défense et de retarder la brèche dans le corps de place.

 

 

 

Chaque rempart possède ces propres galeries souterraines défensives

Pour les courageux, la balade au cœur des remparts vous permettra peut-être de voir des œuvres d’artistes éphémère, qui côtoient les épaisses murailles. Attention la balade est assez longue.

Et parfois quelques rencontres étranges …

Attention de bien repérer votre emplacement de véhicule, si vous vous garez dans la ville, car toutes les rues sont quasiment identiques et après avoir tourné en rond dans les fossés des remparts on a plus vraiment le sens de l’orientation….

Après cette frayeur , nous avons bien mérité une bonne petite choucroute ..

 

 


 

Suite vers Sélestat >>

Road Trip 77 (Vaux le Vicomte) suite

Château de Vaux-le-Vicomte

Situé sur la commune de Maincy, à 50 km au sud-est de Paris, près de Melun, c’est un château du XVIIᵉ siècle, construit pour le surintendant des finances de Louis XIV, Nicolas Fouquet.

Le Château de Vaux-le-Vicomte date des années 1650, à l’époque les plus grands artistes ont oeuvrés pour la réalisation de l’intérieur et du jardin monumental. Parmi ses artistes, l’architecte Louis Le Vau, le peintre Charles Le Brun, le paysagiste André Le Nôtre, le roi Louis XIV en découvrant leurs œuvres fera appel à eux pour construire son futur château de Versailles.

C’est à l’occasion d’une soirée aux chandelles organisé par le château, que nous allons découvrir l’intérieur et les jardins pour finir par une illumination aux chandelles suivi d’un feux d’artifice. Aller, en route pour la visite…

La visite s’organise sur trois niveaux, meublés et décorés comme si Nicolas Fouquet et sa famille avaient récemment habité le château. Grâce à un audioguide très bien fait, vous allez parcourir toutes les pièces du château avec les personnages et l’ambiance de l’époque, une immersion totale .

 

La nuit tombe vite, nous allons quand même faire le tour au pas de course des bassins et jardin de Mr Le Nôtre.

(Extrait du site du château) Le Jardin de Vaux-le-Vicomte s’ordonne autour d’une perspective génialement maîtrisée, longue de plus de trois kilomètres. En composant la mise en scène du château et de son écrin dans l’espace de 33 hectares taillés au cœur de la nature, André Le Nôtre et Louis le Vau réalisent la plus parfaite harmonie entre architecture et paysage de tout le XVIIe siècle. La force et la noblesse de son dessin d’ensemble, l’abondance d’eau et de surprises et sa majesté théâtrale font du jardin de Vaux-le-Vicomte l’œuvre fondatrice d’un art nouveau, celui des jardins à la française. Ils font aussi de ce théâtre une invitation au savoir, à l’imaginaire et au plaisir.

La nuit est tombée, les lanternes prennent vies tout au long des allées.


Maincy

Ce petit village été créé au Moyen Âge, comme en témoigne son église romane. C’était le village rattaché au château de Vaux-le-Vicomte, au XVIIe siècle. Auparavant, la manufacture des Gobelins était dans ce village. Elle a été déplacée à Paris par ordre du roi Louis XIV, qui avait évincé Nicolas Fouquet, son surintendant des finances, et premier propriétaire de Vaux-le-Vicomte.

 

 

C’est autour de cette église et du cimetière contigu que s’organise le village médiéval qui perdurera sans grands changements jusqu’au 17e de siècle.

 

 

Le Lavoir à l’ancienne

 

 

 

Le pont de Maincy est un tableau un peu à part dans l’oeuvre de Cézanne. Les problèmes de datation et d’identification du site ont longtemps contribué à en souligner les ambiguïtés. On s’accorde maintenant autour de la fin de l’année 1879 ou du début de la suivante. En effet, on sait qu’à cette période, le peintre séjourne à Melun et que le pont de Maincy en est tout proche.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

Blandy les Tours

Charmant petit village où domine l’église et le château

Du simple manoir fortifié à un château fort de la guerre de Cent Ans, du château résidentiel, à la Ferme des Tours, le château de Blandy-les-Tours a connu une longue histoire, il a appartenu tour à tour à de prestigieuses familles.


C’est déjà la fin du Week-Trip, bien fait pour eux, ils avaient qu’à me prendre dans leur bagage et cela aurait pu durée plus longtemps … Maintenant il faut retourner à la maison avec tous les parisiens qui rentrent de week-end… Bonjour les bouchons. Clic sur Wapi pour revenir aux voyages de Wapi

Road Trip 77 (Vaux le Vicomte)

Et oui cette fois nous sommes partis sans notre mascotte favorite, une petite soirée aux chandelles nous attend ce soir au château de Vaux le Vicomte et les ours ne sont pas admis …

Un petit Week-Trip que vous pouvez faire en amoureux sur un weekend au départ de Paris.

Direction le petit village de BARBIZON

En bordure de la forêt de Fontainebleau, le charmant petit village de Barbizon fut le repère de nombres de  peintres paysagistes du XIXe siècle comme Corot, Théodore Rousseau, Daubigny,  ou encore Jean-François Millet. Considéré comme l’un des précurseurs de l’impressionnisme, le mouvement artistique de l’École de Barbizon s’étendit de 1830 à 1875, les artistes venaient apprécier la tranquillité de ce paisible petit village .

La promenade le long de la rue principale du village dévoile une succession de belles demeures, de boutiques, de restaurants et de galeries d’art.

l’art a pris une place centrale dans la vie de ce charmant village qui accueille aujourd’hui quelque 1.200 âmes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Laissez-vous aller, comme les milliers de touristes qui déambulent tous les ans, dans  les ruelles de Barbizon, séduits par le « charme à la française » de ce village riche en culture

 

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Parfois les œuvres modernes côtoient les impressionnistes.

 

 

 

 

 

 


Moret sur Loing

 

Moret est une petite cité médiévale de 4 500 habitants environ dont les origines semblent remonter à l’époque gallo-romaine. Elle prend de l’importance en 1081 en entrant dans le domaine royal.

Moulins à Tan et Graciot

XIVe siècle XVe siècle

Sur une île du Loing, le moulin Graciot est aujourd’hui dédié à la sculpture.
Le moulin à Tan accueille régulièrement des expositions. Accès par l’escalier sur le pont de Moret-sur-Loing,

La ville quant à elle offre de magnifiques façades médiévales, ne pas oublier de ce rendre à l’église qui domine le village, et surtout regarder bien l’orgue tout en bois sur la droite dés l’entrée par la porte centrale, un petit chef d’œuvre …

clic pour la suite vers Vaux le vicomte, Maincy et Blandy les Tours

 

Alsace -Bergheim-

Charmante cité médiévale cituée entre la haute et  la basse Alsace.

Moi ce qui m’attire c’est le jardin des Sorcières. Un ours n’a pas peur … de toute façon je ne les aies pas vue, juste des plantes médicinales du moyen age.

 

Bergheim, cité chargée d’histoire, s’ouvre aux visiteurs après avoir traversé les remparts qui entourent la ville. Ne pas oublier de visiter  l’église, la mairie, le vénérable tilleul millénaire à l’ombre duquel se déroulaient les fêtes populaires dès 1300, ou le beau cadran solaire du début du XVIIIe siècle dont l’inscription au sens profond « Sicut umbra fugit vita » ; comme une ombre fuit la vie.. En savoir plus sur l’histoire de la ville

En 1997, la Société d’Histoire de Bergheim crée un lieu interactif retraçant l’histoire des procès de sorcellerie jugés à Bergheim entre 1582 et 1683, présenté sous forme d’une exposition permanente et évolutive.

 

 

 

 

L’église a été vraisemblablement construite entre 1320 et 1347

Sur la route des vins, entouré de ses remparts, elle reste encore relativement préservée des touristes. Le centre ville comporte de nombreuses et très belles maisons de vignerons. Depuis le sommet des remparts, superbement conservés, vous pourrez admirer les coteaux du vignoble, surplombés par le château du Haut-Koenigsbourg.

La promenade des remparts de Bergheim

 

 

 

 

 

 

 


Suite vers Gueberschwihr

 

 

 

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Alsace -Gueberschwihr –

Gueberschwihr, petite cité médiévale pittoresque, située en plein milieu d’un vignoble , blottie à flanc de coteaux dans un écrin verdoyant, elle a gardée son charme d’antan . voici quelques images de notre visite, toujours une interrogation subsiste, sur le fronton de l’église nous retrouvons ce curieux cadran solaire , mais ce n’est pas la seule intrigue, l’arrière de l’église nous réserve une surprise.

Le temps n’est pas de la partie mais ce village fleuri mérite le détour. Gueberschwihr date du VIIIe siècle. A l’ époque (XIe siècle) de nombreux nobles y installèrent leur résidence signe de la richesse du terroir, le village est maint fois pillé lors des guerres. Je vous invite à découvrir son riche patrimoine parmi les maisons à colombages et les porches sculptés.

 

Si vous êtes fan de votre GSM, alors faite le circuit géocaching « Gueberschwihr, pittoresque et médiéval » et partez à la découverte de Gueberschwihr de manière ludique ! Seul, en famille ou entre amis, passez un agréable moment grâce à cette chasse au trésor des temps modernes (info site de Gueberschwihr)

 

 

 

 

 

 

L’église Saint-Pantaléon : elle a été construite au XIIe siècle.

Suite à l’épidémie de peste entre 1337 et 1348, saint Pantaléon s’impose petit à petit comme le saint patron de l’église. Autrefois située dans un cimetière fortifié, l’église Saint-Pantaléon ne subit que peu de transformations jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Le choeur, entouré de deux chapelles latérales fermées par des absides, était construit au-dessus d’une crypte. Une tour, haute de 36 mètres, couronnait la croisée de transept. En 1835, l’église est jugée trop petite. Le choeur, les absidioles, les collatéraux et la crypte sont détruits et une nouvelle église est construite. Dès 1850, des fissures apparaissent sur le nouvel édifice qui est menacée de ruine. L’église est à nouveau reconstruite entre 1874 et 1878. Seuls le clocher roman et le croisillon nord sont conservés. Une nef plus vaste est construite côté sud. ( information récupérée sur le site de la ville)

Rappelez vous , voici notre première énigme , encore ce fameux cadran solaire, mais son fonctionnement semble complexe.

 

 

 

 

La deuxième énigme ce trouve derrière l’église quelle sont ses étranges tombes…

Voici un début de réponse trouvé sur le site de la ville : Derrière l’église, il subsiste quelques arcades de la chapelle Saint-Michel qui était un ancien ossuaire.


J’ai trouvé un nouvel ami au détour d’une ruelle, René la taupe.

Aller, bisous René et en avant pour la suite de notre périple en Alsace , direction  la nécropole de sigolsheim

 

 

Ou bien retourne à la première page

Alsace -Colmar-


La Cigogne m’a déposé en ce mois de mai 2021 en Alsace pour un petit Road Trip de 3 jours, nous commençons par une visite de:

Colmar

 

 

 

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Colmar est une ville du Grand Est,  à proximité de la frontière avec l’Allemagne. Sa vieille ville est dotée de ruelles pavées, bordées d’édifices médiévaux à colombages ou du début de l’époque Renaissance.

C’est une étape incontournable avec ces petit quartiers typiques et ses nombreux monuments. Afin de vous donner l’envie de visiter , voici quelques points essentiels . Pour notre part nous avons trouvé un hôtel très prés du centre ville mais assez en retrait pour être au calme Novotel suite 27 rue Bartholdi prix raisonnable et très grande chambre.

Si vous vous rendez à l’office du tourisme, demander le plan de la ville avec son circuit touristique et son parcours historique et culturel.

 


La petite Venise

Dommage que le temps n’était pas de la partie, c’est certainement le point de vue le plus photographié de Colmar. De ce petit pont, une vue magnifique sur la Lauch bordée de très belles maisons à colombages.


Rue des marchands

Cette rue comprend le plus bel ensemble de maisons à colombages, et pan de bois, la maison la plus connues est la maison PFISTER au n°11. Construit en 1537. Les partie peintes sont des représentations des scènes bibliques,allégoriques, et des représentations des empereurs.

 

 


La maison Zum Kragen au n°9 accolée à la maison Pfister est connue pour la statue de bois polychrome représentant un personnage barbu en tenue renaissance.


La Cathédrale

Bien que toujours appelé ainsi, elle n’a eu le tire que durant la révolution, il s’agit d’une collégiale consacrée à Saint Martin. La tour culmine à 71 mètres.


La Maison des Têtes

Voici une curiosité de la ville qui ne passe pas inaperçue!,ce monument historique situé au 19 rue des têtes fut édifié en 1609 pour un marchand influent.

Elle est ornée de 106 petites têtes humaines qui vous font la grimace.

 

 

 

 

 

 


Le marché couvert

Clic pour la suite vers Rouffach

 

 

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Ambierle

Situé à 18 kms de Roanne, dans le nord du département de la Loire, la commune d’Ambierle doit sa renommée à une abbaye Bénédictine fondée au Moyen-âge.l’abbaye d’Ambierle intègre l’ordre de Cluny en 938. Réduit en prieuré après 1101, le monastère ambierlois suit la destinée clunisienne jusqu’à sa sécularisation en 1788.Le Prieuré et sa façade
Ce bâtiment conventuel construit à l’époque pour sept moines fut bâti entre 1753 et 1757. Il est blasonné aux armes de Cluny et du cardinal de la Rochefoucauld, supérieur de l’ordre. Direction maintenant l’autre coté pour une visite de l’intérieure de l’abbaye.

Au passage on remarquera les magnifiques toits de tuiles de couleur vernissées , et les détails de la façade.

Entrons maintenant dans l’édifice, pour être accueillis par un bénitier massif.

 

 

 

Pour plus de détail sur la ville rendez -vous sur : http://www.ambierle.fr/fr/information/87490/informations-touristiques

Un petit passage par la place de la mairie, aujourd’hui c’est le jour du marché local, pas beaucoup de stand , mais la qualité est au rendez-vous, le fromage de chèvre de la région est un pur délice.

Je me régale d’avance, ces petits chèvres apéro sont pour mes crocs…

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Le Crozet

Wapi adore les villages médiévaux, le Roannais en regorge, notre première halte sera Le Crozet

Au pied des Monts de la Madeleine, le village campe fièrement sur son promontoire rocheux. C’est un village qui vous séduira par son incomparable architecture, témoin d’un passé prestigieux.

De ce passé glorieux, reste un bourg riche en bâtiments d’époque médiévale et Renaissance, que vous pourrez découvrir dans la rubrique « Culture et Patrimoine » de ce site, en attendant de venir le contempler…

Lever bien les yeux, il y a beaucoup de détailles au fronton des façades ou au détours d’une ruelle. Si vous voulez en savoir plus sur le Crozet, je vous conseille de cliquer sur le lien ci dessous.

https://www.lecrozet.com/tourisme/culture-patrimoine/

Cette maison très  ancienne est  l’un des passages incontournables, elle est remarquable par son architecture , une partie en colombage au milieu d’un mur en pierres de taille, une fenêtre gothique et un ouvroir médiéval côtoient une fenêtre à meneau typique de la Renaissance française. Sur la cheminée figurent un cadran solaire et une inscription « Carpe Horam Dum Hora Clarescit »: cueillez la lumière pendant qu’il fait jour. Sur le côté un graphique d’équation du temps permet d’obtenir l’heure légale.Construite en 1862 sur l’emplacement et avec les pierres de l’ancien château, grâce à Monseigneur Dauphin.
Il fut d’ailleurs enterré dans le bas côté gauche et les anciens du village racontent qu’il s’y passe d’étranges choses à chaque année bissextile.

La tour de guet de l’ancien château. Elle fut érigée au XII ème siècle, ainsi que le château, par les Vicomtes de Mâcon. Tour ronde aujourd’hui tronquée, mesurant 11.80 m de haut, 8.80 m de diamètre et dont les murs ont à la base 2.60 m de d’épaisseur.
La tour fut restaurée en 1950. C’est à cette époque qu’on rajouta les créneaux. Du haut du donjon (table d’orientation), vous aurez une vue imprenable.

 

 

 

 

 

 

 

La Vieille Église (Ancienne Chapelle des Vicomtes de Mâcon) N’étant plus entretenue, elle-crozet-village-de-caractere-027le s’effondra en 1978 après un hiver très neigeux. Les décombres furent rachetés par l’association des Amis du Vieux Crozet et La Pacaudière, qui aménagèrent le site en petit jardin public. C’est le lieu privilégié des manifestations en plein air.

Et Voilà pour notre courte visite, clic sur ma photo pour revenir sur le Road Trip